[Terminé] Un repas amicale

UN REPAS AMICALE

Kriss se baladait dans la ville avec un simple chemise blanche, un pantalon noir et il avait toujours à sa main droite son katana. Puis il avait eu un petit creux et se souvenait qu'il avait entendu parler des passants d'un restaurant qui avait l'air délicieux mais qui était un peu cher. Kriss avait de l'argent à dépenser et comme ce restaurant devait être cher, il devait y avoir peu de monde, Kriss aimait la solitude et n'aimait pas les endroit ou il y'avait du monde.

Arrivé à la porte du restaurant, il poussa la porte et entra. Les prédictions de Kriss était bonne, pas une mouche, seulement un couple et un homme seul. Kriss vit une table dans un angle, il se dirigea la personne le dérangera.Il s'assit et posa son katana sur le rebord de la table. Puis Le serveur arrivat :

- Bonjour Monsieur, que voulez vous ?

- Quel est le plat du jour s'il vous plait ?

- En entrée nous avons une salade quatre saison assaisonnée avec de la sauce maison. En plat, du saumon frais de ce matin. Et en dessert un gâteaux au miel avec un poudre du désert.

- D'accord je vais le prendre alors s'il vous plait

Le serveur s'en alla au cuisine. Kriss en attendant observa autour de lui: le couple enchaînait les baisers et les caresses et l'homme seul était bizarre il pleurait et avait déjà finit 2 bouteille de vin

#Encore un homme qui a un problème et qui se réfugie dans l'alcool#

Kriss regarda l'homme en soupirant cet homme lui rappelait son père qui avait aussi sombrer dans l'alcool. Mais Kriss détestait et deteste encore son père après ce qu'il a fait.

Le serveur arriva enfin avec l'entrée. Il posa l'assiette et Kriss affamé se jeta dessus. Le serveur l’interrompit:

- Excusez moi tout à l'heure je ne vous ai pas demander ce que vous voulez boire ?

- L'eau me suffira merci !

Kriss donna un pourboire au serveur, le serveur le remercia, retourna au cuisine. Puis Kriss continua son repas. A un moment la porte du restaurant s'ouvrit.

Lugthierne errait dans les rues, la faim la dévorant. Elle sentait les douces effluves sortant des restaurants, mais constata avec dépit que sa bourse était vide. Elle était à peu près prête à tout pour avaler un bon repas. Elle observait les cartes des différents restaurants, se mettant l'eau à la bouche bien qu'elle savait qu'elle n'y entrerait pas. Puis elle lu, sur le tableau d'un petit restaurant, inscrit en belles lettres de craie cursives:

Citation :: Menu du jour: salade quatre saisons, saumon et gâteaux au miel avec poudre de desert

Lugthierne sentit son ventre se serrer à cette lecture. Elle s'avança vers la porte, légèrement hésitante, l'ouvrit avant d'entrer. Elle admira quelques instants les belles nappes d'un blanc immaculé, la vaisselle aux finitions distinguées. Cela faisait longtemps qu'elle n'était pas entrée dans un lieu d'une telle classe. Elle resta immobile avant de remarquer qu'elle n'avait normalement rien à y faire. Elle était vêtue d'une robe usée peu élégante, ses bottines étaient salies par la boue. Le pire restaient ses cheveux, emmêlés, se débattant anarchiquement sur son crâne. Elle soupira. Elle avait faim et un serveur s'avançait déjà vers elle. Elle ne voyait qu'une chose à faire si elle voulait pouvoir déjeuner en paix. Elle remarqua un homme ivre, dont elle ne pourrait rien faire, et un couple avant d'aviser un jeune homme. Lui pourrait lui être utile. Elle l'étudia quelques instants des yeux, comme un biologiste qui observe une tarentule, avant de s'avancer vers sa table et de s'y asseoir. Elle sourit du mieux qu'elle pu et, d'une voix où pointait le mépris, elle se présenta:

- Je suis Van Keybus Lughtierne, enchantée.

Elle interpella alors le garçon et demanda d'une voix distinguée, radicalement opposée à son apparence:

- Votre meilleure bouteille de vin et le menu du jour, s'il vous plaît. Par contre, si vous pouviez remplacer le dessert par un digestif, ce serait parfait.

Elle sortit alors sa pipe de sa besace et commença à fumer.

La porte s'ouvrit et un fille les cheveux entremêlés vêtu d'une vieille robe usée et des bottes pleines de boues: elle avait tout l'air d'un bohémienne. La fille resta un instant sur place comme ébahit par le luxe du restaurant. Le serveur se dirigea vers elle puis elle examina le restaurant comme effrayé. Puis se mit à regarder Kriss. Kriss n'eut même pas le temps de remarquer son regard affamé par l'assiette qu'il avait.

Kriss sentit la fille s’asseoir mais il l'ignora complètement. La fille se présenta du nom de Van Keybus mais Kriss continuait toujours à l'ignorer puis la fille interpella le serveur :

- Votre meilleur bouteille de vin et le menu du jour , s'il vous plaît. Par contre, si vous pouviez remplacer le dessert par un digestif, ce serait parfait.

#Encore une enfant gatée mais vu son habillement je ne vois pas en quoi elle pourrait se payer un repas #

Puis Kriss sentit de la fumée leva la tête et vit la fille du nom de Lughtierne avec une pipe à la main. Kriss n'apprecie pas particulièrement la fumée voir pas du tout car il n'en voit déjà pas l'interet de fumer donc il se devait de faire la moral envers la jeune fille:

- Excusez moi mademoiselle pouvez vous arettez de fumer s'il vous plait ! Et puis fumer à votre âge ce n'est pas très bien !

Kriss ne jugeait que par la taille de la fille qui était très petite. Donc Kriss lui aurait donné à peu près dix sept années. Que fait une petite fille sans ses parents:

- As-tu de l'argent pour payer ton repas ou tu es venu à ma table pour que je te le paye ?

Kriss questionna la fille pour la destabiliser et qu'elle s'en aille à une autre table pour qu'il soit tranquille seul.

- Excusez moi mademoiselle pouvez vous arettez de fumer s'il vous plait ! Et puis fumer à votre âge ce n'est pas très bien !

Lugthierne leva lentement les yeux vers l'impudent qui osait commencer à lui faire la morale. De quoi se mêlait-il? La jeune femme ne tolérait pas que l'on se permette de la réprimander. Qui était donc cet homme pour oser lui adresser la parole comme si elle n'était qu'une vulgaire gamine. Elle prit une longue respiration et commença à parler, d'une voix calme et mesurée:

Monsieur, lorsque vous adressez la parole à un lady qui se présente, la moindre des choses est d'en faire de même, et je ne crois pas que cela doive vous coûter un courage surhumain. De plus, de quel droit m'interdisez-vous de fumer? Me considérez-vous comme une vulgaire plébéienne qui ne sait se tenir? Et que signifiez vous par "à votre âge"? Me considérez-vous comme une jeune fille à peine sortie de l'enfance? Si vous étiez un gentleman, vous sauriez qu'il ne faut jamais mentionner l'âge d'une dame dans la conversation.

Le ton plein de reproche hautain contrastait avec son apparence. Elle toisait, avec un intérêt tout scientifique l'allure de l'homme en face d'elle, mesurant chacun de ses traits, détaillant le moindre cheveux lorsqu'elle fut interrompue par sa seconde remarque.

- As-tu de l'argent pour payer ton repas ou tu es venu à ma table pour que je te le paye ?

Lugthierne écarquilla les yeux et fixa l'homme en face d'elle, avant de répondre d'une voix légèrement perçante, et d'un débit rapide:

Je vous prie de m'excuser mais de quel droit me tutoyiez-vous sans même vous présenter? Êtes-vous un malotru qui ne cherche qu'à me déranger pendant mon repas? Et vous prétendez actuellement que vous feriez payer à la jeune fille assise à votre table un repas? N'avez-vous aucune éducation?

La jeune femme sourit intérieurement en prononçant cette dernière réplique. Ce jeune homme n'avait pas l'air stupide, il avait compris ses intentions (qui n'étaient pas exprimées très subtilement, soit dit en passant). Elle s'enfonça un peu plus dans sa chaise, n'ayant aucune intention de bouger. Elle avait faim et mangerai.

Spoiler:

La fille apparement offusqué de la remarque qu'avait fait Kriss sur le fait de fumer dans un restaurant et à l'age que lui donnait Kriss, elle répondit pourtant par une voix calme:

- Monsieur, lorsque vous adressez la parole à un lady qui se présente, la moindre des choses est d'en faire de même, et je ne crois pas que cela doive vous coûter un courage surhumain. De plus, de quel droit m'interdisez-vous de fumer? Me considérez-vous comme une vulgaire plébéienne qui ne sait se tenir? Et que signifiez vous par "à votre âge"? Me considérez-vous comme une jeune fille à peine sortie de l'enfance? Si vous étiez un gentleman, vous sauriez qu'il ne faut jamais mentionner l'âge d'une dame dans la conversation.

Par les mots de la jeune filles, Kriss compris alors que la fille malgrès son habillement devait être aisée seul les famille aisée utilise des mots comme "lady","plébeienne"... Kriss détestait les personnes qui se croyait supérieur aux autres et répartisait les gens par classe. Elle n'était pas dirigeante du royaume donc de quel droit disait elle le mot "plèbe". Elle enchainât les questions les un après les autres et la fille baissait peu à peu dans l'estime de Kriss, mais sur un point elle avait raison Kriss ne s'était pas présenté.
La fille s'enerva de plus belle après la question de Kriss sur le fait qu'elle avait de l'argent ou non. Et sa voix devint plus percante et rapide dans sa réponse :

- Je vous prie de m'excuser mais de quel droit me tutoyiez-vous sans même vous présenter? Êtes-vous un malotru qui ne cherche qu'à me déranger pendant mon repas? Et vous prétendez actuellement que vous feriez payer à la jeune fille assise à votre table un repas? N'avez-vous aucune éducation?

Kriss était enervé d'avoir cette fille à sa table de quel droit en plus se permetait elle de l'insulter en critiquant son éducation. Par ses paroles Kriss comprit aussi que la fille n'allait pas partir sans avoir mangé et Kriss devait lui payé son repas. Kriss pris une voix hautaine et repondit :

- Excusez moi je ne me suis pas présenter, je me nomme Kriss, Kriss Bolaru. Et je m'excuse d'avoir demandé votre âge mais vous avez l'air d'avoir la dix sept ans à cause de votre taille. Et je ne vous ai point interdit d'arêter de fumer je vous ait demandé d'arêter. Et excusez moi je ne suis point un gentleman car j'appartiens à la plèbe comme vous l'appelé chez vous.

Kriss avait répondut aux premières question de la fille mais il avait répondut comme un gentleman mais si il ne l'etait pas il s'avait répondre avec distinction. Kriss attendait de ce qu'il disait que la fille s'enerve encore plus. Puis il continua :

- Et chère madame ou demoiselle je vous tutoie puisque je tutoie les gens avec qui je parle. Et vous dîtes que je vous ai dérangez pendant votre repas mais excusez moi je mangeais et vous m'avez dérangez en vous présentant à moi. Et excusez moi mais dans le monde on nous vivons femme ou homme il faut gagner son pain soi même, travailler est une bonne manière de gagner de l'argent. Mais comme je vois que vous n'avez point d'argent pour vous payer un repas alors dans ce cas je vais vous le payez.

Kriss leva enfin la tête de son assiette car il venait de la finir entièrement sans rien y laisser. Puis vit la fille s'enfoncer dans sa chaise. Il attendait que la fille lui réponde en la regardant en souriant.

- Excusez moi je ne me suis pas présenter, je me nomme Kriss, Kriss Bolaru. Et je m'excuse d'avoir demandé votre âge mais vous avez l'air d'avoir la dix sept ans à cause de votre taille. Et je ne vous ai point interdit d'arêter de fumer je vous ait demandé d'arêter. Et excusez moi je ne suis point un gentleman car j'appartiens à la plèbe comme vous l'appelé chez vous.

Lugthiene écouta calmement la réponse de l'homme en face d'elle, hocha la tête en entendant son prénom et son nom avant de tressaillir faiblement lorsqu'il affirma qu'elle n'était âgée que de dix-sept ans. Avait-t-elle l'air si juvénile? Elle gonfla légèrement les joues, marquant son mécontentement. Elle pensait qu'il comprendrait qu'elle ne tolérait pas que l'on mentionne son âge mais en plus, il se permettait de se railler de sa taille! Elle se reprit, s'assit parfaitement droite et posa ses mains sur la table, comme on le lui avait enseigné. Ses yeux s'éclairèrent d'une légèrement lueur de curiosité lorsqu'elle apprit que l'homme venait de la plèbe. Elle rêvait de rencontrer des êtres étranges tel que lui et réjouissait de ne pas avoir à le faire dans un endroit insalubre, où elle avait déjà rencontré tant de personnes dégoûtantes. Pour une fois, elle était tombée sur un plébéien à l'allure agréable et n'ayant pas l'air d'un rustre. Elle pourrait peut-être apprendre à mieux comprendre la populace en parlant avec lui. Intérieurement, elle lui étiqueta une petite feuille où était écrit "plébéien à étudier". Elle regarda alors ses mains aux ongles peu entretenus et se dit qu'elle avait plus l'air d'une souillon que lui.

- Et chère madame ou demoiselle je vous tutoie puisque je tutoie les gens avec qui je parle. Et vous dîtes que je vous ai dérangez pendant votre repas mais excusez moi je mangeais et vous m'avez dérangez en vous présentant à moi. Et excusez moi mais dans le monde on nous vivons femme ou homme il faut gagner son pain soi même, travailler est une bonne manière de gagner de l'argent. Mais comme je vois que vous n'avez point d'argent pour vous payer un repas alors dans ce cas je vais vous le payez.

Lugthierne s'amusa des multiples excuses que lui faisait l'homme assis en face d'elle. Comme il le disait si justement, c'était elle qui était venue le déranger, et il n'avait par conséquent aucune raison de s'excuser. Elle nota qu'il disait la tutoyer en la vouvoyant et cette remarque fit naître un fin sourire sur ses lèvres. Elle eut un instant peur qu'il refuse de payer son repas mais il finit par accepter, la prenant en pitié. Elle soupira de soulagement lorsque le serveur lui apporta son entrée. Elle l'engloutit sans attendre, faisant peu de manières, et fit signe au serveur de ramener le plat. Son estomac ayant cesser de crier famine, elle prit le temps de humer les odeurs s'élevant de son assiette, en admirant la couleur du saumon. Elle avisa alors la bouteille de vin blanc que le serveur avait posé à l'instant sur le bord de la table, lu l'étiquette avec satisfaction en notant qu'il s'agissait d'un cépage rare et réputé pour être exquis et décida d'en verser à son bienfaiteur. Ce ne fut qu'à ce moment qu'elle remarqua son sourire. Etait-il plein de sympathie, moqueur ou hypocrite? Lugthierne ne put le déchiffrer. Dans le doute, elle sourit et versa du le blanc dans le verre de Kriss.

C'est si gentil à vous de m'inviter. J'espère ne pas avoir l'air de m'imposer; J'ai trouvé l'entrée tout à fait exquise. J'ai hâte de goûter la suite. Mais commençons donc par boire ce vin. Il est réputé pour être exquis. Sentez, vous remarquez déjà de loin ses saveurs fruitées. Buvons le en l'honneur de notre rencontre, Monsieur Bolaru.

Sans observer la réaction de Kriss, elle souleva son verre, le fit légèrement tourner, respira les arômes un court instant avant de l'avaler cul sec.

Le serveur arriva et donna l'entrée à la jeune fille. Kriss n'allait pas passer au plat alors que la fille n'était qu'à l'entré. Il était peut être éduqué par la plèbe comment elle l'appelle mais il savait que c'était la moindre des choses quelqu'un que l'on a invité. Kriss n’attendit pas longtemps car apparemment la fille était affamé et finit l'assiette en quelques seconde. Elle appela le serveur et lui demanda d'apporter les plats. Le serveur arriva enfin posa les assiettes. Rien qu'a l'odeur le saumon donnait envie, la dorure du saumon était parfaite.

Lugthierne pris une bouteille de vin blanc qu'elle avais commandé et que le serveur avait posé sur la table, elle lu l’étiquette. Puis Kriss vit la fille lui en servir dans son verre, il n'eu pas le temps de refuser que la liqueur vignoble était déjà dans son verre. Kriss n'aimait pas toucher à l'alcool et il n'allait pas changer ses habitude. Et elle sourit et dit:

- C'est si gentil à vous de m'inviter. J'espère ne pas avoir l'air de m'imposer; J'ai trouvé l'entrée tout à fait exquise. J'ai hâte de goûter la suite. Mais commençons donc par boire ce vin. Il est réputé pour être exquis. Sentez, vous remarquez déjà de loin ses saveurs fruitées. Buvons le en l'honneur de notre rencontre, Monsieur Bolaru.

Puis elle mit son verre en l'air, le fit tourner, renifla et avala son verre cul-sec. Kriss ne voulant pas boire son verre rétorqua :

- Ce n'est rien concernant mon invitation, c'est normal je n'allais pas laissé une fille mourir de faim. Par rapport à l'entrée je suis tout à fait d'accord avec vous. Mais je ne bois pas d'alcool je suis désolé c'est pour cela que je ne bois que de l'eau. Et ne m'appelle pas Monsieur Bolaru, simplement Kriss suffira. Puis je vous posez une question ?

Kriss se demandait que faisait cette fille, seul. Elle appartenait surement à une famille aisée vu son langage pourtant ses vêtement était sale, usée. Qui était elle? A par son prénom Kriss ne savait rien d'elle. A-t-elle fugué ? Kriss voulait savoir des choses sur quelqu'un il était en train de changer !

Kriss commença par goûter son saumon tout en attendant un réponse de la jeune fille et le saumon était presque meilleur dans la bouche que à l'odeur. C'était le meilleur saumon qu'il avait mangé et qu'il va manger surement.

Spoiler:

- Ce n'est rien concernant mon invitation, c'est normal je n'allais pas laissé une fille mourir de faim. Par rapport à l'entrée je suis tout à fait d'accord avec vous. Mais je ne bois pas d'alcool je suis désolé c'est pour cela que je ne bois que de l'eau. Et ne m'appelle pas Monsieur Bolaru, simplement Kriss suffira. Puis je vous posez une question ?

Lugthierne trouvait cet homme de plus en plus sympathique. Il avait l'air galant et acceptait de payer son repas. Elle se renfrogna tout de même lorsqu'il annonça qu'il ne buvait pas d'alcool. Quel homme normal refuserait cette divine boisson? Elle admit tout de même qu'elle n'avait pas à critiquer son bienfaiteur. On ne crache pas sur la main qui nous nourrit. Et elle avait ainsi plus de vin pour elle. Elle tendit la main et saisit la bouteille et se rappela qu'elle ne devait pas boire au goulot mais verser l'alcool dans son verre: elle n'était pas seule ni sur les routes, il fallait se comporter décemment. Après avoir rempli son verre à demi, elle enfonça sa fourchette dans le saumon, qui lui parut exceptionnellement tendre. Elle n'en avait pas mangé depuis longtemps et se réjouit: cela changeait des plats miteux qu'elle avaient mangé dans des petites gargotes mal famées après qu'elle ait quitté le manoir familial. Elle continua d'écouter Kriss en mangeant avant de lui répondre:

Et bien, quitte à pousser la familiarité jusqu'à nous appeler par notre prénom, autant nous tutoyer. J'accepte donc d'écouter ta question, puisque tu m'offres ce délicieux repas. Je ne te garantis pas de réponse par contre. Et j'aurais également le droit de te questionner.

Lugthierne attendit la question de l'homme en buvant un troisième vers de vin. Son nez commençait à rougir. L'alcool commençait à faire effet et elle devenait de plus en plus familière.

Après la question de Kriss, elle pris la bouteille et la dirigea à sa bouche comme pour le boire à la bouteille. Mais finalement elle mit le vin dans son verre. Son verre remplit à moiter, elle posa la bouteille, puis se mit à goûter à son plat. Elle eu la même réaction que Kriss cette réaction quand on goûte quelque chose de exquis. Puis elle finit par répondre à Kriss :

- Et bien, quitte à pousser la familiarité jusqu'à nous appeler par notre prénom, autant nous tutoyer. J'accepte donc d'écouter ta question, puisque tu m'offres ce délicieux repas. Je ne te garantis pas de réponse par contre. Et j'aurais également le droit de te questionner.

La fille pris son troisième verre et commençât à être soul. Souvent quand l'homme est soul il perd conscience de son esprit, il en avait fait l'expérience plus jeune avec sa sœur. Kriss regarda la jeune fille toujours en souriant mais dans sa tête des millions de questions se posait il n'allait pas lui poser plusieurs questions alors qu'il lui avait demandé de ne répondre à qu'une quelle question choisir Kriss était perplexe :

- Excuse-moi d'être aussi indiscret mais comment ce fait-il que tu sois dehors à ton age. Es-tu perdu ?

Kriss avait poser une question comme si il essayait de faire la morale à cette fille, il ne devrait pas s'occuper de cette fille mais cette fille l’intéressait beaucoup. Il voulait savoir qui elle était et que faisait-elle seul à son age. Puis Kriss ce rappela que la fille lui avait dit que en échange elle aurait eu également le droit de poser une question:

- Voulez-vous aussi me posez une question ?

Kriss attendit Lugthierne en attaquant son saumon petit à petit, évidemment il dégustait à pleine dents cette douceur en bouche. Et Kriss ne buvant pas de vin prenait de l'eau. Et l'eau allait si bien avec le saumon si simple mais si délicieux.

Lugthierne fixa Kriss lorsqu'il la questionna. Elle écarquilla légèrement les yeux, souleva ses sourcils, faisant apparaître de fines rides sur son front. Elle soupira intérieurement lorsqu'il s'excusa encore. C'était quoi ces excuses à répétition? Elle ne s'attendait pas à une telle question. Elle ne s'attendait pas à une question particulière, son cerveau trop embrumé pour en imaginer une, mais s'étonnait qu'un homme qu'elle connaissait depuis si peu de temps veuille connaître les raisons de sa présence. Elle tenta de ménager un effet qui ferait croire qu'elle maîtrisait l'art oratoire en buvant un nouveau verre de vin, bien plein cette fois. A force de boire de l'alcool, elle commençait à pouvoir en boire une quantité impressionnante étant donnée sa petite carrure, mais le verre qu'elle venait d'avalait empourpra encore un peu plus son nez. Elle prit la parole d'une voix à peu près sure, légèrement plus grave que lorsqu'elle était sobre:

Je te prie de cesser de mentionner mon âge à tout moment. Je te signale que je suis une adulte, j'ai 20 ans. Je suis une jeune femme respectable et aucunement une fillette égarée.

Elle marqua une pause. En fait, elle était plus proche de la fillette égarée sans le sou. Elle décida de continuer son discours avec détermination et de ne pas s'embarrasser de ce que pourrai penser un roturier.

Je ne suis pas perdue. Je voyage de mon plein gré, découvrant les classes inférieures à mon rang.

Lugthierne pensa qu'elle allait taire le fait qu'elle était fauchée, vagabondait depuis bien longtemps, avait dû gagner un maigre salaire en faisant des tours à l'aide sa magie, qu'elle jugeait ridicule. Son image de femme respectable serait immédiatement brisé en petits morceaux qu'il ne resterait plus qu'à balayer. Elle continua de manger son saumon en écoutant la seconde question de Kriss. Elle remarqua qu'elle n'avait aucune question à lui poser avant de regarder la bouteille presque vide. Elle leva les yeux vers lui et lui posa avec un sérieux burlesque étant donné son air de poivrote négligée:

Pourquoi ne buvez-vous pas de vin?

Elle le fixa d'un air insistant, les yeux écarquillés, oubliant toutes bonnes manière pendant quelques secondes avant de remarquer qu'elle avait de la sauce au coin de la bouche et de l'essuyer.

La fille apparemment choqué de la question de Kriss, avec ses yeux grand ouvert. Pourtant c'était la question simple que les gens posait aux filles perdu, sans parents. La simple question de Kriss était pourquoi était elle dehors à son age, Kriss pensait que cette fille était encore juvénile enfin d'apparence elle n'avait pas la tête d'un adulte de plus de 18 ans. Kriss lui aurait donné tout au plus 17 ans. Kriss but un verre d'eau et Lugthierne un verre de vin puis lui répondit :

Je te prie de cesser de mentionner mon âge à tout moment. Je te signale que je suis une adulte, j'ai 20 ans. Je suis une jeune femme respectable et aucunement une fillette égarée.

Kriss fut choqué dès que la fille mentionna son age, il faillit s'étouffer avec l'eau qu'il avait dans la bouche. Cette fille avait un vingtaine d’année elle était presque du même age que Kriss. Dans ses yeux, Kriss voyait qu'il avait blessé la jeune fille en offensant. Puis elle repris :

Je ne suis pas perdue. Je voyage de mon plein gré, découvrant les classes inférieures à mon rang.

A ses mots, Kriss poussa un soupir. De quel droits se permettait elle de dire " classes inférieures ", cette fille se prenait pour quelqu'un de supérieur, Kriss savait peu de ce genre de personnes mais il n'avait pas de la compatis pour eux. Kriss savait que tout le monde était égaux et n'aimait pas les gens qui pensait le contraire, la plupart de ses personnes appartiennent à des guildes maléfique. Mais cette personne que Kriss avait devant n'avait pas l'air très maléfique. Puis elle mangea son saumon Kriss faisait de même puis répondu à Kriss:

Pourquoi ne buvez-vous pas de vin?

Kriss fut étonné par la question. Personne ne lui avait jamais posé cette question. Mais il fallait avoué que cette question il aurait du mal à répondre soit il allait tout avouer que c'est la faute de son père ou soit il allait simplement dire qu'il n'aimait pas dans les deux cas il dirait la vérité :

- Je ne bois pas de vin, car je ne bois pas d'alcool. Et l'alcool emprisonne l'esprit.

Kriss faisait une nouvelle fois la morale. Il se souvint que la fille avait parler des classes inférieurs. Et avec les vêtements qu'elle avait elle ressemblait vraiment à une vagabonde plus qu'autre chose. Kriss pris son dernier morceau de saumon le mit dans sa bouche, l'avala, finit son verre d'eau, s'essuya la bouche et repris :

- Et vous dites vouloir découvrir les classes inférieurs. Mais excusez pour l'instant vu vos vêtements vous faites partit des nôtres. Et puis il n'y a pas de classes inférieurs et supérieurs. Dans la vie il y'a juste des gens qui sont plus aisée que d'autre. Donc il faudrait déjà que tu es de l'argent pour te sentir et pour l'instant c'est moi qui te paye le repas.

Kriss pris un léger sourire puis attendit que la fille finit son plat pour attaquer le dessert qui avait un nom alléchant. Serait il comme le saumon aussi bon, le dessert normalement est ce qui finalise le repas si il est délicieux les clients reviendront et ce que ferait surement Kriss. En attendant la réponse de la fille Kriss se resservit de l'eau et la but.

Lugthierne s'étonna de la réaction de Kriss lorsqu'elle mentionna son âge. Que signifiait cette réaction excessive? Elle fronça également les sourcils lorsqu'il soupira.

- Je ne bois pas de vin, car je ne bois pas d'alcool. Et l'alcool emprisonne l'esprit.

La jeune femme leva les yeux au ciel lorsque son hôte prononça sa dernière phrase. Comment pouvait-on considéré l'alcool comme mauvais? Elle se sentait en pleine possession de ses moyens, bien qu'elle ait bu près d'une bouteille de vin. Elle ne doutait pas qu'elle avait l'air légèrement énivrée, mais son esprit n'était nullement "emprissoné". Au contraire, elle se sentait pétillante d'une foule de sentiments: la joie d'avoir le ventre plein, à l'aise sur la chaise moelleuse où elle était confortablement installée, alangui par un bon repas touchant à sa faim, et légèrement vexée par la remarque de son interlocuteur. Elle voulut répliquer mais il continua à parler.

- Et vous dites vouloir découvrir les classes inférieurs. Mais excusez pour l'instant vu vos vêtements vous faites partit des nôtres. Et puis il n'y a pas de classes inférieurs et supérieurs. Dans la vie il y'a juste des gens qui sont plus aisée que d'autre. Donc il faudrait déjà que tu es de l'argent pour te sentir et pour l'instant c'est moi qui te paye le repas.

Il osait critiquer son auguste personne? Avait-elle bien entendu? Et il insinuait qu'elle faisait partie des leurs? Lugthierne prit une profonde inspiration et commença à parler, comme une mitrailleuse, un télégraphe, sans une intonation et dans un souffle:

Sache, mon cher Kriss, qu'il ne faut pas juger les gens par rapport à leur apparence mais par leur naissance. Le monde est tel que, chaque Homme naît avec un rang bien précis et ne doit normalement pas frayer avec les classes inférieures. Qui existent. Il y a des nobles, des bourgeois, des marchands, des agriculteurs, des pauvres, des mendiants. C'est ainsi, on ne peut rien y faire. Et l'argent n'a rien à voir. Un mendiant pourrait devenir bourgeois, il n'en resterait pas moins un ancien mendiant. Chacun est condamné à rester bien rangé dans son rang, cela ferait trop de désordre dans le cas contraire. J'ai décidé de partir étudier les classes inférieures, dans un acte charitable, et tu te permets de me critique? De plus, tu oses te sentir supérieur parce que tu me paies un repas? Ce repas, tu me le paies car un homme se doit de payer le repas d'une lady qu'il a invité à sa table. En outre, tu te sens supérieur simplement car tu as plus d'argent aussi-es-tu en réalité quelqu'un qui croit en la supériorité de certains.

Lugthierne sentait que sa logorrhée commençait à l'emporter, elle tenta donc de se mesurer en finissant son saumon. Par malheur, une arête se ficha dans sa gorge, et elle éclata alors d'une violente quinte de toux.

Spoiler:

La jeune fille pris une longue inspiration et repondit à Kriss :

Sache, mon cher Kriss, qu'il ne faut pas juger les gens par rapport à leur apparence mais par leur naissance. Le monde est tel que, chaque Homme naît avec un rang bien précis et ne doit normalement pas frayer avec les classes inférieures. Qui existent. Il y a des nobles, des bourgeois, des marchands, des agriculteurs, des pauvres, des mendiants. C'est ainsi, on ne peut rien y faire. Et l'argent n'a rien à voir. Un mendiant pourrait devenir bourgeois, il n'en resterait pas moins un ancien mendiant. Chacun est condamné à rester bien rangé dans son rang, cela ferait trop de désordre dans le cas contraire. J'ai décidé de partir étudier les classes inférieures, dans un acte charitable, et tu te permets de me critique? De plus, tu oses te sentir supérieur parce que tu me paies un repas? Ce repas, tu me le paies car un homme se doit de payer le repas d'une lady qu'il a invité à sa table. En outre, tu te sens supérieur simplement car tu as plus d'argent aussi-es-tu en réalité quelqu'un qui croit en la supériorité de certains.

Puis elle retourna sur son saumon. Puis au moment ou Kriss voulait lui répondre. Elle commença à s’étouffer en toussant. Kriss se leva en direction d'elle et lui tapota le dos. Puis il prit son verre d'eau car dans le verre de la jeune fille il y restait du vin. Kriss mit donc son verre dans la bouche de la jeune fille pour lui faire boire. Puis il retourna s'asseoir et posa le verre. Il regarda la fille avec un sourire :

- D'un coté je m'excuse de m'être senti supérieur comme tu l’appelle en te payant ce repas. Mais d'un autre je veux juste te faire comprendre que personne n'a de classe social. Nous sommes tous égaux, nous sommes dans un monde ou si tu n'a pas d'argent tu peut mourir. Et cette argent vient du travail, il faut donc que tu en trouve un !

Kriss entendit son ventre dire " J'ai faim " en un gros gargouillement. Et apparemment la plupart des gens dans le restaurant l'avait entendu. Kriss pour détourné l'attention il continua à parler à Lugthierne :

- Excusez-moi mademoiselle pour cette interruption peu fréquente mais quand vous parlez d'acte charitable. Les personnes inférieur comme vous nous appelez n'en on pas besoin si tu veux nous aidez nous préférerons que tu restes au chaud chez toi

Kriss énervé après avoir apaiser l'atmosphère. Attendit un réponse de la jeune femme.

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Lugthierne hocha rapidement la tête pour remercier Kriss de son intervention. Elle sentait sa gorge irritée et avala goulûment le reste de vin pour tenter d'apaiser cette sensation, ce qui ne fit, à sa grande déception, que lui brûler.

- D'un coté je m'excuse de m'être senti supérieur comme tu l’appelle en te payant ce repas. Mais d'un autre je veux juste te faire comprendre que personne n'a de classe social. Nous sommes tous égaux, nous sommes dans un monde ou si tu n'a pas d'argent tu peut mourir. Et cette argent vient du travail, il faut donc que tu en trouve un ! [/color]

Encore de la morale? Était-il un puits sans fond de sermons en tout genre, sur l'alcool, la le travail, la manière de penser? Elle était exaspérée par cette attitude. Elle voulut répondre, mais les paroles de son hôte reprenaient:

- Excusez-moi mademoiselle pour cette interruption peu fréquente mais quand vous parlez d'acte charitable. Les personnes inférieur comme vous nous appelez n'en on pas besoin si tu veux nous aidez nous préférerons que tu restes au chaud chez toi

L'alternance entre tutoiement et vouvoiement marquait son exaspération. Elle s'en fichait bien. Ce qui comptait était l'affront qu'il osait lui faire. Il insinuait que Van Keybus Lugthierne était inutile? De quel droit? Qui était-il pour la juger? Elle reprit la parole:

Mon cher, de quel droit juges-tu tous mes actes et te permets-tu de me donner des conseils si avisés? As-tu un travail si fabuleux? Es-tu si exceptionnel? Je doute que tu sois une personne parfaitement vertueuse et apte à juger autrui.

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Lugthierne apparemment vexé que Kriss lui avait faite une réponse très froide :

Mon cher, de quel droit juges-tu tous mes actes et te permets-tu de me donner des conseils si avisés? As-tu un travail si fabuleux? Es-tu si exceptionnel? Je doute que tu sois une personne parfaitement vertueuse et apte à juger autrui.

La fille lui demandait si il avait un travail fabuleux. Kriss sourit car il savait un travail vraiment génial même si son travail lui prenait beaucoup de temps mais il l'adorait. Et puis il n'était pas exceptionnel non plus mais son travail était vraiment unique et magnifique :

- Pour te répondre je ne suis pas quelqu'un d'exceptionnel mais par contre j'ai vraiment un travail fabuleux. Excuse moi je ne me suis pas entièrement présenter en faites: Je suis Kriss Bolaru, maître de la guilde Stonelizard.

Kriss se leva fit un révérence. Puis se rassie. Et appela le serveur car Kriss sentit que son ventre allait encore gargouiller et il ne voulait plus attirer encore l'attention vers lui :

- Serveur, pouvez vous apporter le dessert s'il vous plait et remplir cette carafe .

Le serveur hocha la tête pris la carafe et se dirigea en direction de la cuisine; Puis Kriss se tourna vers la femme à tête infantile, lui sourit et continua la conversation :

- Et toi qui n'a jamais travaillé, tu es maintenant confronté à la dur réalité. Il faut travailler pour gagner son pain ! Et vu l'état de tes vêtements tu devrait travailler le plus rapidement.

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- Pour te répondre je ne suis pas quelqu'un d'exceptionnel mais par contre j'ai vraiment un travail fabuleux. Excuse moi je ne me suis pas entièrement présenter en faites: Je suis Kriss Bolaru, maître de la guilde Stonelizard.

Peut-être s'attendait-il à une réaction admirative ou étonnée. Manque de chance, Lugthierne se contenta de hausser les sourcils avec un air méprisant. Elle se souvenait à peine avoir entendu le nom de Stonelizard et n'était pas très intéressée par toutes ces histoires de guildes. De plus, elle trouvait sa révérence superfétatoire à un stade aussi avancé du repas.

- Serveur, pouvez vous apporter le dessert s'il vous plait et remplir cette carafe .Et toi qui n'a jamais travaillé, tu es maintenant confronté à la dur réalité. Il faut travailler pour gagner son pain ! Et vu l'état de tes vêtements tu devrait travailler le plus rapidement.

Un froncement de sourcil peut en dire bien plus que des paroles. Celui de Lugthierne exprimait un curieux mélange de mépris, d'agacement et de surprise. N'avait-elle pas expliqué qu'il ne fallait pas juger les personnes selon leur apparence? Quel entêtement... Elle inspecta un peu ses mains, usées à force de travailler pour des employeurs véreux. Elle avait travaillé, pour de maigres salaires ne pouvant guère lui payer qu'un repas dans un boui-boui où le premier ivrogne venait lui adresser la parole dans des buts peu vertueux. Elle-même était une ivrogne, mais une ivrogne ayant des principes, hérités d'une grand-mère stricte qui tenait au tradition. Elle n'avait effectivement pas travaillé depuis longtemps mais, était-ce sa faute? Sans qualification, seuls des travaux physiques sont proposés, et sa constitution ne lui permettait pas de trop solliciter son corps. Elle avait été confrontée à "la dure réalité". Mais n'allait pas laisser ce malotru avoir le dernier mot.

Sais-tu que tu me connais depuis moins d'une heure mais que tu ne cesses pour autant de me faire la morale. Et qu'as-tu à reprocher à mes vêtements? Il s'agit d'une simple tenue de voyage certes peu élégante mais approprié pour se mouvoir. Je m'excuse de ne pas avoir la classe de certains maîtres de guilde arrogants. Les gentilshommes ne passent pas leur temps à critiquer leur invitée. Enfin, je te préviens juste que si ma présence t'était si insupportable, il suffisait de me chasser.

Au sommet de la mauvaise foi, la jeune femme se leva et se dirigea vers la porte. Au passage, elle attrapa la bouteille que le serveur ramenait à la table d'un client et sortit avec. Dehors, un vent violent soufflait et la déséquilibrait. L'alcool rendait sa démarche hésitante, pareil à celle d'un toucan estropié. Elle sourit tout de même en pensant qu'elle avait rencontré là un sujet d'étude fort intéressant, bien qu'un peu vexant.

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À la dernière réflexion de Kriss, la jeune femme fronça les sourcils comme vexé. Kriss ne voulait pas la vexé il voulait juste lui faire la morale sur la vie extérieur. La jeune fille jeta un coup d'oeil sur ses mains qu'avait elle a regardé ses mains, elle était sale surement dut à du travail. Kriss c'était surement trompé sur son cas ou ces mains pousserieuse était surement du à une chute. Kriss voulut se faire pardonné en sortant un tissu de sa poche pour qu'elle essuie ses mains et son visage. Mais la jeune fille l'imterrompit :

Sais-tu que tu me connais depuis moins d'une heure mais que tu ne cesses pour autant de me faire la morale. Et qu'as-tu à reprocher à mes vêtements? Il s'agit d'une simple tenue de voyage certes peu élégante mais approprié pour se mouvoir. Je m'excuse de ne pas avoir la classe de certains maîtres de guilde arrogants. Les gentilshommes ne passent pas leur temps à critiquer leur invitée. Enfin, je te préviens juste que si ma présence t'était si insupportable, il suffisait de me chasser.

Kriss n'était pas un maitre de guilde arrogant et Kriss avait pris une table dans un coin pour être seul non pour que quelqu'un vienne le déranger. Et c'était cette fille qui était venu s'incruster. Lugthierne se leva et s'en alla. Kriss regardat autour de lui personne ne remarqua la sortie de la fille. Kriss remarqua qu'elle avait pris la bouteille avant de partir. Un sourire se forma peu à peu sur les lèvres de Kriss car cette fille était d'un coté une personne que le jeune homme trouvait désagréable et de l'autre elle avait fait ressortir un caractère différent de la petite fille modèle.

Puis le serveur arriva enfin apportant deux desserts. Arrivé à la table il remarqua l'absence de la fille. Le serveur déposa alors l'assiete avec ce fameux gateau au miel. Il était magnfique à vue d'oeil. Kriss s'interrompit dans son admiration car le serveur resté sur place ébêté de savoir que faire du deuxieme gateau au miel. Kriss tendit la main comme signe qu'il allait le manger. Le serveur posa alors l'assiette sur la table et repartit en cuisine. Kriss affamé finit les desserts comme si il n'avait jamais avlé quelque chose de sa vie. Il finit le verre d'eau.Laissa l'argent du repas sur la table. Puis sortit du restaurant et ressourit en se rappelant de la rencontre qu'il avait faites.

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[Terminé] Un repas amicale

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