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| Sujet: Convoi et Solitaire se croise dans le désert. - PV Ven 22 Fév - 13:42 | |
| J’étais partit de la Capitale, pour la ville d’Endurn. J’avais préféré passer par le canyon…Préférant les créatures y vivant aux voleurs des sables qui y restaient moins présent. Au fond, j’avais toujours cette « crainte » de « tomber » sur Habib ou Khafir. Même si le second était bien plus « gérable » que le premier. Dans tous les cas…je ne voulais pas me retrouver confronter à mes anciens frères, mes anciens amis. Ceux qui m’on trahit. Une fois à Endurn, je m’étais dirigé dans le quartier souterrain. J’y avais alors récupérer l’objet de ma mission, ma quête. En temps normal, Heatime évite les missions liées au désert. Mais, je suis probablement l’un des rares du clan à les prendre dés que nous en avons. Pour moi, le trajet entre la capitale et Endurn est peut-être long, et fastidieux, mais il reste passionnant.
Dans tous les cas, je me dois de livrer ce colis à Milkaun. Pour se faire, je sais que le chemin le plus rapide reste le plus dangereux : le désert d’Othun. Si mon client ne m’avait pas affirmé que ce fût urgent et important, j’aurais pris sur moi de faire le détour…Mais bon, le temps limite qui m’était accordé ne me le permettrait nullement. Me rendant dans une écurie, je fis atteler un cheval. Un magnifique animal, fier et fort. Il me permettrait de gagner du temps dans le désert. Et puis, j’ai toujours aimé les cheveux. Ils sont si nobles, si fiers…Pour un habitant du désert, sa monture est une chose précieuse, presque sacrée. Je regrette encore la mort de ma monture lorsqu’on m’a trahit…et je n’ai plus eu, depuis, le courage de m’acheter une monture personnelle. Bien qu’au fond, j’en rêve toujours…
Le destrier harnaché, je pris place sur son dos. Prenant place sur la selle, cette-dernière était chargée finalement. Nécessaire pour monter une tente rapide, en cas de tempête ou de nuit dans le désert. Casserole, une réserve d’eau, une théière, des feuilles de thé, et surtout : mon colis. Ajustant mon foulard dans mes cheveux, et autour de mon visage…seul mes yeux étaient désormais visibles. Tirant sur les rennes, je partie alors au galop, pénétrant le désert : mon ancien territoire. Ce fut après quelques heures de chevauchés, que je fis ralentir ma monture. Je savais cette zone particulièrement surveillé, grâce aux nombreuses collines de sable cachant la vue, par les voleurs des sables. Aussi, à rythme plus léger, je continuais mon chemin…croyant apercevoir, plus loin, une caravane marchande en approche. Ou est-ce, finalement, un autre type de convoi, d’escorte ? Enfin...je le saurais, quand le ciel va nous tomber sur la tête, car Khafir sera dans le coin. (HRPG : Désolé du retard...mais ayant perdu le premier rp que j'avais rédigé, et n'arrivant pas à le réécrire comme je le voulais, j'ai finalement juste repris l'idée de base donné dans le mp donc bon...désolée, encore, de tout ce temps d'attente...) |
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| Sujet: Re: Convoi et Solitaire se croise dans le désert. - PV Ven 22 Fév - 16:31 | |
| Comme à mon habitude, je venais d'accepter une mission qui ne semblait pas beaucoup divertissante. Un peu de temps avant cela, je m'étais rendu dans un petit bar pour prendre mon café du matin. Alors que j'étais bien tranquillement en train de profiter du matin calme, une discutions parvenue directement à mes oreilles. Un groupe de marchand savait pour destination la ville désertique, Endurn. Ils souhaitaient traverser le désert afin de se rendre à Endurn pour des affaires de ''business'' comme ils disaient. Mais ils savaient que le désert n'était pas un endroit sûr et souvent à origine de pièges et de vols. Enfin, je ne prêtais pas beaucoup d'importance pour ce qu'ils racontaient, mais après avoir fini mon café et mettre rendu compte que je n'avais pas d'or sur moi pour payer, je n'avais pas d'autre choix que de leur proposer mon aide.
Depuis ma table, encore assis sur ma chaise devant ma tasse vide et la cuillère sur le côté je leur demandai poliment une première fois si je pouvais les accompagner en échange de ma dette envers le café qui n'était pas bien élevée. Ils me regardèrent et ce mirent à rire comme des hyènes me rappelant que je n'étais pas bien musclé et intimidant et que je ne saurais protéger quoi que ce soit. Je ne pouvais pas leur en vouloir pour si peu, après tout ce sont des gens qui voyagent beaucoup et qui ne doivent pas savoir mon statut actuel. Mais l'idée de leur exposer ma vie, je préférais leur faire voir qu'il ne faut pas me prendre à la légère. Saisissant la cuillère qui m'avait servi pour mon café, je la lançais à quelque centimètre de la tête de l'un des marchands l'ayant transformée en un couteau aiguisé et la plantant dans la carriole derrière lui.
Le marchant qui venait être victime de mon attaque eu quelques sueurs froides et se ressaisissant, me complimenta sur mon lancé de couteau. Mais je me fus un malin plaisir à préciser que je l'avais loupé d'un air froid et menaçant. Il resta un peu sous le choque, quoi de plus normal, mais c'est avec un sourire un peu gêné qu'il me dit que je pouvais les accompagner et qu'ils payeraient ma note.
C'est donc comme cela que je me retrouvais dans une carriole avec un vieux fou conduisant la carriole et trois marchands tranquillement installer à l'arrière dans une espèce de toile les protégeant du soleil nous frappant lourdement. C'est vrai qu'il fait vraiment très chaud, et le désert n'est pas l'endroit le moins au soleil, franchement, quitte à faire un petit détoure et prolonger d'un ou deux jours le voyage, on aurait pu passer par le canyon déjà à l'abri d'un peu de soleil, mais un peu plus dangereux c'est vrai.
Notre voyage avait déjà bien commencé et le terrain devenait un peu plus vague. Du sable à perte de vue rendant presque impossible toute orientation, des bosses nous cachant notre champs de visions et nous rendant plus fragile. Mais alors que notre chemin était plutôt tranquille, j'aperçus au loin un nuage de poussière soulevez par un destrier monté par un individu solitaire. Il nous fonçait droit dessus et nos chemins allaient se croiser. On ne sait jamais ce qui peut se passer. Prévenant les marchands de faire attention et de ne pas sortir de leur tente.
Nous avancions sur notre chemin et notre champs de vision fut complètement bloqué par une crevasse assez importante. Semblable à une arène de sable, il ne fallait pas rester là, c'est un endroit parfait pour les embuscades, il n'y a aucun moyen de fuite. Ce trou à du se former après un sable mouvant assez important ou une explosion qui sait.
Alors que nous descendions dans cette fosse, le cavalier solitaire arrivait en face de nous. Ce n'était plus qu'une question de minute avant qu'on se croise. Mais, d'un cri je fis stopper la carriole. Nous n'étions plus seul ...
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