Van Keybus Lugthierne INDEPENDANT
| Sujet: Lugthierne Sam 23 Fév - 19:04 | |
| Van Keybus Lugthierne Fichtre, voilà quelqu’un d’étrange! | NOM : Van Keybus PRENOM : Lugthierne AGE : 20 ans DATE ET LIEUX DE NAISSANCE : 25 mai 5080 à Bharkian SEXE : Féminin
POUVOIR PRINCIPAL - Pouvoir du jouet : grâce à son pouvoir, Lugthierne peut transformer tout objet en jouet en tout jouet en objet. La durée de l’effet est bien sûr limitée. POUVOIRS SECONDAIRES - Agrandissement/ Rétrécissement : permet de changer sa taille - INVOCATION D'OBJET : Invoque un ou plusieurs objets dans un même thème (qui disparaissent après plusieurs heures)
ORIENTATION : Hétérosexuelle PASSION : Les jouets en tout genre, bien qu’elle ne l’admettrait pas. Ce n’est pas sérieux voyons ! GOÛTS : Elle aime beaucoup l’alcool, et fume à longueur de temps, soit la pipe soit une cigarette. Elle a horreur des aliments sucrés. Au fil de son voyage, elle a aussi développé une légère aversion pour les personnes, alors qu’auparavant, elle voulait en rencontrer le plus possible. SECRET : Elle a encore besoin de son ourson en peluche pour dormir. PARTICULARITÉ : Submergée par ses émotions, elle conjugue tous ses verbes au subjonctif imparfait, que cela soit cohérent ou non. AUTRE : Non.
SANTE PHYSIQUE : En raison de sa maladie, faible. NIVEAU DE MAGIE : Sa magie lui a servi à gagner de quoi survivre sur les routes ce qui lui a permis de la développer à un niveau plutôt élevée.
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DESCRIPTION « Une éducation stricte permet un port élégant ». Lugthierne a entendu cette maxime un bon nombre de fois, de la part de sa mère, de sa grand-mère, de sa gouvernante, … Elle a donc appris à se tenir parfaitement droite, le menton haut, les épaules en arrière, rehaussant haut maximum sa petite taille, à peine un mètre cinquante-cinq. Sa tenue lui permet de se faire remarquer, même si elle n’est pas très imposante avec sa silhouette frêle. Mais l’éducation n’a guère plus d’influence que sur son port depuis qu’elle a quitté le domicile familial…
Toute la dignité et l’aristocratie de sa physionomie a disparu. Certes, elle a encore le visage ovale, les traits fins et la peau laiteuse, voire livide hérités de sa mère, mais désormais c’est nettement le visage paternel qui ressort. A commencer par cette tignasse frisée noire qui, depuis que sa coiffeuse ne s’occupe plus d’elle chaque matin et qu’elle n’a pas le temps, ni la patience de coiffer, pousse anarchiquement sur son crâne, pareil à la forêt de ronce touffu. On ne la croirait pas du tout noble lorsque l’on voit son nez rougi par l’alcool légèrement tordu, suite à une bagarre au court de son vagabondage, ou ses lèvres charnues, les même que sa grand-mère paternelle, vous savez, celle qui darde un regard dur sur le tableau au-dessus de la cheminée du salon. C’est le même regard bleu glacé que Lugthierne plante dans chacun de ses interlocuteurs. Un regard distant, hautain, souligné par un léger maquillage et par de sourcils parfaitement épilés, qui à force d’être froncés, ont formé d’invisibles rides sur son front. La perfection de cette épilation et due à l’habilité de ses longs doigts de pianiste, exercés par sa grand-mère à des travaux précis et contraignants, puisque la jeune fille, du fait de son éducation et de sa constitution, ne pouvait sortir. En effet, voyez ce corps fragile, à la faible poitrine, aux côtes légèrement saillantes. La demoiselle souffre d’asthme et a hérité de la fragile constitution de sa mère. Elle n’a donc jamais pu pratiquer d’activités physiques, ni partager des cours d’escrime avec ses frères, ses bras fins ne pouvant soutenir sa rapière en l’air bien longtemps, ni partir à cheval avec son père et son oncle pour de palpitantes chasses à la cour, ses jambes grêles ne pouvant supporter de longues battues… Trop faibles d’après les médecins… Elle était donc condamné à chausser ses pieds fins dans de petites chaussures d’apparat, de s’affubler de lourdes robes pleines de dentelle, … Du moins, jusqu’à ce qu’elle parte. A ce moment-là, elle enfila des vêtements plus banals et troqua ses lourds bijoux par la pipe fumant à ses lèvres.
Le caractère de Lugthierne est également marqué par son éducation. Elle est hautaine, distante avec la « plèbe » qu’elle cherche à comprendre sans y parvenir. Elle considère les personnes normales plus comme des sujets d’observation que comme de véritables interlocuteurs. Elle peut paraître froide, n’hésite pas à être cassante, ce qui explique qu’elle a du mal à trouver un emploi. Elle considère les personnes s’adressant à elle de manière familière comme impudentes. Elle a développé une légère agoraphobie et ne supporte pas les lieux où il y a de la foule. Elle a beau se prétendre rebelle par rapport à ses parents, elle a développé le même orgueil. Une conséquence de son exclusion est une naïveté enfantine. Elle croit tout ce qu’on lui raconte.
BIOGRAPHIE Des tas de personnes croient au destin. Pas moi. Si Fortuna existait, elle ne m’aurait jamais menée où je suis. Tout a commencé à ma naissance. Comme pour tout le monde, je crois. Mes parents étaient de riches bourgeois qui vivaient de leurs rentes. Mon père adorait la chasse, ma mère la couture. En tant que fille, je devais rester chez moi, avec ma mère, à tricoter des napperons et à parler chiffons alors que mes frères accompagnaient mon père dans ses longues battues. J’avais tenté plusieurs fois de les suivre mais on prétextait que j’étais trop frêle pour cela. Le médecin avait diagnostiqué une maladie chronique, dont je ne pourrai jamais me défaire. Aller dehors était dangereux pour moi : j’étais petite, j’avais le teint pâle et une constitution fragile. On m’a vite assise sur un gros fauteuil, on m’a affublée de lourde robe et mis un tricot dans les mains pour que je ressemble à la fillette dont ma mère avait toujours rêvé. Peine perdue : ma maladresse ne s’accordait pas avec les travaux de couture ni avec les goûters organisés par de grandes dames, où je finissais irrémédiablement par renversé quelque chose. Ma mère en eut vite assez de ma gaucherie et me rangea dans ma chambre, où je ne lui ferai plus honte. Mon père fut attristé de mon sort, mais j’étais trop fragile pour que l’on me sorte du manoir. Pour se faire pardonner, il me recouvrait d’une montagne de cadeaux en tout genre.
Mes parents m’aimaient, je crois, mais je n’étais pas adaptée à leur vie. J’étais un fragile bibelot qui risquait de se briser si je suivais mon père dans ses activités, et trop malhabile pour m’adapter aux « loisirs de jeunes filles » d’après ma mère. Cela leur posait tous deux problème : que faire de moi ? Dès mes 8 ans, ils ont engagé de nombreux précepteurs pour m’apprendre tout ce qui pourrait aider à dénicher le moindre de mes talents. A croire que je n’en avais aucun. Ils avaient installé une large étagère dans ma chambre, l’avaient rempli de dizaines de livres, espérant qu’un sujet pourrait faire ressortir un de mes talents. Ils n’avaient pas compris qu’à part de la poussière, les livres ne m’apportaient rien. Je me suis vite détourné de la lecture, trop inerte à mon goût.
Entre mes huit et mes quinze ans, j’ai grandi entre une étagère menaçant de s’écrouler à tout moment et des montagnes de jouets. Mes journées étaient rythmées par l’arrivée de mes professeurs qui m’enseignaient tout ce qui devait faire de moi une lady. J’acquis rapidement le port d’une dame, imitais leurs tenues et leurs manières, savait tenir une conversation mondaine. Cela réjouis un peu ma mère, qui se dit qu’après tout, je pourrais apparaître devant des hôtes sans que je ne touche à rien. Peu à peu, je fus à nouveau acceptée aux salons où des dizaines de dames ne cessaient de commenter leurs tenues, de discuter de banalités affligeantes. Chaque moment passé en leur compagnie me plongeait un peu plus dans une déréliction qui ne pouvait se résoudre autrement que par la rencontre d’autres personnes, de personnes pleines, ayant une personnalité. Il me fallut attendre mon premier grand banquet mondain pour en rencontrer une.
Il s’agissait d’un jeune homme, mon aîné de trois ans. Il était chargé du service de notre table. Nous discutâmes un peu, firent connaissance. Au bout de quelques heures, il me parlait de plus en plus, lutinant un peu. Ce qui ne plut absolument pas à ma mère. Nous rentrâmes à la maison, elle était … agacée… de mon attitude. Elle m’annonça qu’elle se chargerait désormais elle-même de mon éducation. Mais, je voulais faire l’adulte, lui prouvé que je n’étais plus la gamine enfermée dans ma chambre. Ce que je peux appeler ma période rebelle commença.
Je ne voulais plus correspondre à ce que ma mère avait prévu pour moi. Cela commença par de petite choses : mettre un pantalon, ce qui dans l’esprit borné et archaïque de ma mère représentait un sacrilège, cesser de la vouvoyer… Mon père riait beaucoup de ma rébellion. Ma mère, non. Elle décréta ne plus pouvoir rien faire pour une jeune fille comme moi et m’envoya à dix-huit ans chez ma grand-mère paternelle.
Mon aïeule était une femme dure, sans une once de pitié. Je me suis toujours demandé comment une telle femme avait pu donner naissance à mon père, un bon vivant. Chez elle, ce fut une vie difficile, austère. Je devins en l’espace de cinq mois une parfaite demoiselle, à qui elle apprit tout de même les bases de la défense, en cas de rencontre avec un malotru. Je vivais dans un lieu étouffant, où je devais constamment me comporter comme une dame sous peine de subir le courroux de ma grand-mère. Par ses exercices contraignants, j’améliorais peu à peu mon habilité. Je haïssais ma vie. Heureusement, elle fut atteinte d’une pneumonie, ce qui me libéra de sa présence oppressante. Sur un coup de tête, je rassemblais dans un sac quelques vêtements, le peu d’argent que je pus trouver, un nécessaire de toilette, quelques paquets de cigarettes que j’avais trouvé dans les cuisines ainsi que des provisions et quelques bouteilles d’alcool et partis à « l’aventure ».
L’aventure c’est bien les deux premières heures, ensuite, tu as mal aux pieds parce que tu n’as jamais autant marché, et surtout pas sur des routes poussiéreuses, au bout d’une semaine tu découvres que tu n’as plus rien à manger et que tu dois trouver un travail. Je suis partie depuis deux mois, j’ai enchaîné les emplois minables et je continue de vagabonder en espérant trouver un peu d’argent.
ET VOUS DANS TOUT ÇA ? PSEUDO : Kappa AVEZ VOUS SIGNE LE RÈGLEMENT ? oui COMMENT ÊTES VOUS ARRIVE SUR LE FORUM ? google si mes souvenirs sont bons. COMMENT LE TROUVEZ VOUS ? Chouette. UN PETIT TRUC A RAJOUTER ? Nop.
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Invité Invité
| Sujet: Re: Lugthierne Sam 23 Fév - 19:28 | |
| Hey et bienvenue =D! J'ai pris la peine de tout lire o-o! Je me félicite xD! Enfin, tu es pré-validé. Mais tu peux quand même allez faire ta fiche de personnage (www) ainsi que faire recensé ton avatar (www) et si l'envie t'en prend, choisir une guilde (www). Juste : - Citation :
- Pouvoir du jouet : grâce à son pouvoir, Lugthierne peut transformer tout objet en jouet en tout jouet en objet. La durée de l’effet est bien sûr limitée.
Je crois que tu voulais dire : - Citation :
- Pouvoir du jouet : grâce à son pouvoir, Lugthierne peut transformer tout objet en jouet et tout jouet en objet. La durée de l’effet est bien sûr limitée.
Il faudrait juste préciser ce qu'il te permet de faire. Qu'est-ce que ça fait de transformer un objet en jouet (un jouet est un objet en plus '^'). Car transformer une assiette en jouet ... euh ? Oui et alors ? Est-ce que tu peux faire d'une voiture en plastique toute petite une vraie voiture ou tu peux aussi transformer cette voiture en plastique en quelque chose de complètement différent comme une chaise.
Dernière édition par Anders Key le Dim 24 Fév - 11:08, édité 1 fois |
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Van Keybus Lugthierne INDEPENDANT
| Sujet: Re: Lugthierne Sam 23 Fév - 19:37 | |
| Je me suis mal exprimée, désolée. En effet, je voulais dire "Pouvoir du jouet : grâce à son pouvoir, Lugthierne peut transformer tout objet en jouet et tout jouet en objet. La durée de l’effet est bien sûr limitée." Cela me permet par un contact de transformer les armes de mes adversaires en jouets inoffensifs. Un véritable sabre devient par conséquent une épée en mousse par exemple. L'inverse fonctionne aussi: un sabre en mousse peut devenir un véritable sabre. L'objet garde toutefois sa nature de base (donc pas de voiture qui devient une chaise ^^) J'espère avoir été plus clair |
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Anaël Skandarta Administratrice
| Sujet: Re: Lugthierne Mar 26 Fév - 17:21 | |
| TU ES VALIDE !!! Bienvenue sur le forum ! Tu peux maintenant venir postuler pour une guilde ( www) si tu en as l'envie. Dans tout les cas, n'oublie pas de venir poster sa fiche de personnage ( www) et de faire recenser ton avatar ( www) |
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